Installer un kit solaire personnalisé : une solution économique et écologique

Opter pour un kit solaire personnalisé permet de produire sa propre électricité tout en réduisant sa facture énergétique. C’est une démarche à la fois économique et respectueuse de l’environnement, qui demande cependant une bonne préparation et une compréhension des éléments clés à prendre en compte avant l’installation.

Bien choisir son kit solaire : les étapes clés

Le choix d’un kit solaire dépend de plusieurs facteurs : la localisation du logement, son exposition au soleil, ainsi que la consommation électrique quotidienne du foyer. Avec monkitsolaire.fr, vous pouvez trouver un système bien dimensionné permettant de faire des économies notables sur le long terme.

Évaluer ses besoins en énergie

Pour bien dimensionner son installation, il est essentiel de commencer par analyser sa consommation. Un petit kit solaire de moins de 1 kWc peut suffire à alimenter les appareils essentiels (réfrigérateur, box internet, etc.). Pour une autoconsommation plus large, des kits entre 1 et 3 kWc sont recommandés. Des plateformes spécialisées comme monkitsolaire.fr proposent des solutions adaptées à chaque besoin.

Choisir les bons composants

Le type de kit dépend de la surface disponible et du type d’installation envisagé. Les kits « plug and play » d’une puissance de 300 à 500 Wc sont simples à installer et accessibles financièrement (entre 300 et 700 €). La production annuelle varie entre 900 et 1 400 kWh selon la puissance des panneaux (exprimée en kWc) et leur exposition.

Guide d’installation d’un kit solaire en toute simplicité

Installer un kit solaire soi-même est tout à fait possible, à condition de bien suivre les étapes et de respecter les règles de sécurité. Une bonne planification est indispensable pour assurer le bon fonctionnement du système.

Préparer l’emplacement et le support

Il faut tout d’abord identifier l’endroit idéal pour poser les panneaux : une exposition plein sud, sans ombrage, est recommandée pour un rendement optimal. Si les panneaux sont installés à plus de 1,80 m du sol, une déclaration d’urbanisme est obligatoire. Les kits pour balcons ou petites surfaces sont particulièrement pratiques, avec une puissance de 300 à 500 Wc pour un investissement modéré.

Raccorder le système en toute sécurité

Le raccordement au réseau électrique doit se faire dans le respect des normes. L’onduleur joue un rôle essentiel en transformant le courant continu produit par les panneaux en courant alternatif utilisable. Pour les kits pré-câblés, une Convention d’Autoconsommation Sans Injection (CACSI) est suffisante. Pour les autres, une attestation Consuel est nécessaire. Le rendement varie selon la saison et la région : à Marseille ou Nice, un panneau de 310 Wc peut produire 0,5 kWh en hiver et jusqu’à 2 kWh en été.

Connaître les démarches administratives

Installer un kit solaire implique aussi de respecter certaines obligations administratives, qui varient selon la configuration et la puissance de l’équipement.

Vérifier les règles d’urbanisme

Si les panneaux sont posés à plus de 1,80 m du sol, une déclaration préalable doit être déposée en mairie. C’est le cas notamment pour les installations sur toit ou en façade. L’exposition sud, bien qu’idéale pour la performance, doit également respecter les contraintes locales d’urbanisme.

Accomplir les formalités liées à l’autoconsommation

L’autoconsommation implique des démarches spécifiques. Un kit pré-câblé nécessite une CACSI, tandis qu’une installation plus complexe demande une attestation de conformité délivrée par le Consuel. Ces documents garantissent la sécurité et la légalité du dispositif. Une fois les démarches terminées, chaque kWc installé peut produire entre 900 et 1 400 kWh par an, selon les conditions.